La passerelle d'Holzarte - 28 sept 2018.

Pas très long comme parcours,

mais ardu pour tous les autres critères ...

dénivelé, progression,

sans parler du côté émotionnel

et du vertige.

Le départ du parcours est digne d'une carte postale,

le doux murmure de l'Olhadubi,

les couleurs, l'ombre et la fraîcheur.

 

Le sentier monte légèrement ... pour l'instant ...

 

 

Après le passage d'un pont de bois, on découvre une cascade magnifique.

Décor là encore de carte postale,

dommage que l'eau manquait un peu pour nous,

le spectacle aurait été encore plus grandiose !

 

Et à partir de ce moment là, le chemin devient chaotique,

pierreux à l'excès,

au point qu'on se demande 

à quel moment on va faire demi tour.

 

Le ruisseau s'éloigne au fur et à mesure que l'on monte ...

 

 

Les cailloux deviennent de plus en plus gros et nombreux,

les marches sont de plus en plus hautes,

la main courante d'acier sur la gauche n'est pas de trop pour nous épauler ...

 

 

 

 

Une bonne partie du trajet se situe en zone découverte,

et pour nous, aujourd'hui,

en plein soleil de septembre.

Cette borne témoigne de l'altitude sur le chemin,

sachant que celle de départ était à 380 m.

 

Puis tout à coup, on découvre le canyon ...

Et la passerelle ...

Elle surplombe le ruisseau de 150 m ...

Très impressionnant,

vertigineux.

Rien de commun avec ce qu'on a déjà vu dans ce pays !

 

Quand on traverse, on sent "que ça bouge vraiment"

mais bon ! 

On est pas venu jusque là

pour ne pas traverser.

Voilà c'est fait !

Et on aborde la descente,

et on prend le temps de regarder la nature,

des fougères de toutes sortes,

des fleurs et des graminées, 

sans oublier d'être vigilants, prudents et attentifs

aux pièges du parcours.

et on retrouve avec le plus grand des plaisirs

le ruisseau et son doux murmure,

les arbres couverts de mousses,

et cette cascade majestueuse

qui nous accompagnent pour la finale de notre balade.