Bedous - Aydius 2 (3,3 kms - 1 h 30)

Août 2017, deuxième envie de balade dans ce magnifique village d'Aydius.
La dernière date de septembre 2016, 
mais cette fois, on est décidés à faire un petit circuit
en rapport, bien sûr, avec nos capacités physiques de retraités.

Notre référence, le guide des randonnées en Béarn -Vallée d'Aspe.

Auparavant, une halte à Bedous, dans la vallée.
La petite ville vaut le détour, avec ses rues pittoresques,
et des points de vue à tous les coins de rues.




Un cadre magnifique, ou le gave d'Aspe et le Gabaret se faufilent 
entre les maisons plus que centenaires
et toutes plus pittoresques les unes que les autres.



 
  
Puis, on tombe sur ce petit, bar, restaurant,
"Le Mayabor" qui vous invite à entrer
par une plaque en béarnais "Entrada".
Etablissement simple mais très convivial et nature.



Déjeuner impeccable, cuisine simple,
locale, copieuse, de très bons produits :
Salade variée, toast au foie gras, gésiers confits, jambon de pays,
super reconstituant pour attaquer la promenade de l'après-midi.


Confit de canard pour poursuivre en beauté,
avant de terminer par une salade d'ananas frais délicieuse.


Nous, voilà maintenant à Aydius, sur la place du fronton,
départ de notre balade.

Il suffit de suivre attentivement le balisage jaune,
"Le Tour d'Igaüt - Chichit".
Le dénivelé est annoncé à 170 m.

Nous sommes surpris par la qualité de ce balisage
et la facilité de cheminement dans des sentiers dégagés, 
aménagés et très bien entretenus.


L'auberge des Isards, où nous avions déjeuné en 2016,
sans en avoir emporté un souvenir impérissable.


La première moitié environ du tracé se fait en descente 
dans des sentiers bordés de buis taillés,
des bois et des prés.



Partout où les yeux se tournent, la vue est magnifique.
Les nuages accrochés sur les flancs de la montagne
sont du plus bel effet. 


On découvre le village sous des angles nouveaux,
et le ravissement se confirme à chaque pas.



Au fond de la vallée, on passe des barrières 
derrière lesquelles sont massées de sympathiques chèvres,
qui attendent leur berger, ou pourquoi pas leur jolie bergère.
Dociles, elles nous laissent passer,
et nous n'oublions pas de refermer la barrière
comme sur tout le tracé, qui en compte plusieurs.








On longe de petits torrents ombragés 
qui apportent fraîcheur et doux murmure.







Petite série de "Cartes postales perso" pour le plaisir de les partager.







Retour au village où on semble être dans un autre monde,
tellement calme et serein.

Et sur la descente vers Bedous, 
on prend le temps de s'arrêter
pour admirer, écouter, 
et profiter des cascades et fontaines
qui jalonnent le parcours.








Bonne promenade à vous, 
et, comme nous,
profitez-en bien.

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