On arrive au chalet d'Iraty-Cize par la D18 en venant de Saint Jean le Vieux.
En chemin, on aura pu admirer ces paysages sublimes, ces fonds de vallées,
tous plus beaux les uns que les autres.
En chemin, on aura pu admirer ces paysages sublimes, ces fonds de vallées,
tous plus beaux les uns que les autres.
On en a pris plein les yeux depuis Saint Jean le Vieux et jusqu'à Iraty-Cize.
Le col de Burdincurucheta (1135m) offre un panorama à couper le souffle.
Belle route, large, donc pas de panique pour les
"effrayés des trop petites routes de montagne" (dont je fais partie parfois),
Rien à voir avec la route du col d'Aphanize qui emmène à Ahusquy.
Le parking permettra à votre véhicule de vous attendre (environ 1 h 30 mn)
le temps de parcourir ce sentier découverte, fléché en jaune.
On traverse la route et se dirige vers le petit pont de bois,
en étant attentif aux indications jaunes.
Nous n'avons pas eu la chance de voir le lac d'Iraty en eaux.
En effet, la sécheresse de cette année 2016 a eu raison des eaux du lac,
et ce n'est qu'un mince filet d'eau qui serpente au creux de la vallée.
On contourne le lac jusqu'à la route, en laissant sur la gauche le bar "Le Cayolar",
On traverse la route et après le pont, virage à droite dans le chemin qui s'offre à nous.
On suit le balisage jaune, et après quelques dizaines de mètres,
on monte le long du'une balustrade de planches.
Ça monte fort, jusqu'à atteindre un dénivelé positif de 98 m.
A une fourche, obliquer vers la gauche
(attention le balisage est tellement discret qu'on a failli le manquer)
On chemine alors à flanc de colline sous les hêtres.
Plus loin, dans l'amorce de la descente, on arrive à une table d'orientation
d'où le spectacle vous ébahi.
Magnifique vue sur cette vallée d'Iraty.
On descend par des lacets dans les ajoncs en fleurs pour atteindre le parking
où votre véhicule vous a attendu bien sagement.
On apprécie la beauté de ce fond de vallée une dernière fois.
Très belle balade, un peu hard dans la montée dans le bois.
Nos mollets ne sont pas encore professionnels,
mais tant d'émerveillement fait oublier les muscles malmenés.
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